Chanson ( poème) Viking!
Heureux qui, comme Olaf, a fait une bonne expédition,
Ou comme cestuy-là qui conquit la voisine,
Et puis est retourné, plein d'usage et raison,
Tuer les habitant du village en leur chantant une contine.
Quand reverrai-je, hélas, les corps demembrés de ce petit village
Fumer les chaumières, et en quelle saison
Reverrai-je ma pubienne toison,
Qui m'est une province, et beaucoup davantage
Plus me plaît le sang qui coule de mes aïeux,
Que les culs terreux angevins, le front audacieux,
Plus que l'hydromel me plais le muscadet!
Ou comme cestuy-là qui conquit la voisine,
Et puis est retourné, plein d'usage et raison,
Tuer les habitant du village en leur chantant une contine.
Quand reverrai-je, hélas, les corps demembrés de ce petit village
Fumer les chaumières, et en quelle saison
Reverrai-je ma pubienne toison,
Qui m'est une province, et beaucoup davantage
Plus me plaît le sang qui coule de mes aïeux,
Que les culs terreux angevins, le front audacieux,
Plus que l'hydromel me plais le muscadet!
Plus ma Loire Viking, que la Loire sauvage,
Plus ma petite Coconut's Island, que le mont Palatin,
Et plus que l'air marin la douceur angevine.
Adalrik le fucking guerrier Viking
Ce n'est que bien plus tard, que ce très cher J. Du Bellay, pompait honteusement cette chanson d'encouragement pré-bataille.
Niakusikovitch