Jeudi 26 juillet 2007 à 13:03

Voici un récit Viking retrouvé dans les archives de la bibliothèque nationale d'Oslo, racontant les péripéties de quelques vikings dans nos contrées coconiennes.

    "Par tous les temps nous naviguâmes. Contre les vents, au travers des glaces. Mais grâces à Thor, nous découvrir la réalité de Valhalla.
Dans les contrées du Sud, après avoir quitté le monde connu, ce cap que nous baptisâmes Pan Ar Beden (qui devint Pen Ar Bed en breton (ndr)), nous nous engouffrâmes dans ce que nous pensions être une vaste et paisible baie.

Il s'agissait en réalité d'un fleuve, le plus long fleuve qu'il m'ait été donné de voir dans ma longue vie de navigateur et de guerrier.

Portés par de bon vent venus du larges, nous entreprîmes de le remonter. Des hordes de sauvages nous assaillir avec des armes rudimentaires. Leur techniques de combat faisait surtout appelle à la lâcheté et à la fuite.

Cependant, le climat étouffant, chaud et humide n'épargna pas nombre de nos compagnons, dont Eldir le Veuf et Stövlein Frappe qu'un Coup, qui succombèrent dans d'atroces souffrances de la fièvre pour rejoindre Oden.

Après trois jours durant lesquels notre remontée fut ponctuée d'attaques autochtones, de fièvre et d'orages, Thor nous ouvrit le ciel, cessa de souffler le vent et nous fit découvrir d'extraordinaires paysages.

    Par Frö! Un instant je me suis cru mort. Le Valhalla était sous nos yeux. Les Walkiries chantaient et dansait nues devant nous. L'hydromel semblait couler des rivières. Une brise légère et douce caressait nos visages. Lorsque nous débarquâmes, le sable était soyeux tel de la laine. Les arbres donnaient des fruits à profusion.

Le choix ne fut pas long de décider de ne pas remonter plus haut le Liger. Nous stoppâmes, et prirent un repos mérité, le repos du guerrier, durant plusieurs jours, plusieurs lunes même, les Walkiries nous choyèrent.

    Lorsque l'heure du départ fut arrivée, nous décidâmes de laisser un contingent d'une cinquantaine de nous hommes, dont Svein Le Fourbe, sur ce paradis que nous avons baptisé Coconut's Islandsis.

Qu'Odin nous pardonne d'avoir pénétré dans son jardin sacré, aujourd'hui je le remercie, car je peux mourir fier et heureux."


http://www.cours.fse.ulaval.ca/ten-20727/sitesdescours/000_3automne2000/grands_explo_5/viking.gif

    Ce texte, n'est qu'un, parmis de nombreux autres, qui témoigne de la création de Coconut's Island par les Vikings. Grace à ces témoignages inestimables, nos archéologues peuvent entreprendre les fouilles aux lieux les plus probables de traces de la présence viking.

Vadez

Vendredi 1er juin 2007 à 10:48

Les fouilles archéologiques sur  Coconut's Island sont suspendu pour cause d'innondation.

Le mauvais temps, caractérisé par de la pluie incésente, à provoqué une innondation qui heureusement n'a fait aucune victime (peut etre quelques lapins myxomatosés, mais bon je dois dire qu'on s'en fout pas mal et ça me met hors de moi. Non mais c'est vrai quoi, ils ont le droit à une vie décente eux aussi! Pourquoi trinqueraient-ils de nos erreurs post-Tchernobylistique? Pourquoi la Renault Kangoo n'existe-elle pas en rose? Pourquoi ai-je envie de rouler dans les flaques d'eau sur le bord de la route? Et pourquoi je m'égard en écrivant cet article? Pourquoi je ne m'en rend compte que maintenant?), mais qui à stoppé les archéologues dans leur frénésie "fouillistiques".

Pour mieux comprendre ce phénomène, une petite carte météo, qui n'a pas l'air comme ça, mais qui est très utile. Encore faut-il la déchiffrer, et alors là... Sébastien Follin est-tu là? .......

Dommage, mais au moins ça mets de la couleur sur l'article!

Nous avons donc interviouvé (je l'écris comme je veux!!) un archéologue dépité par cette innondation

:-"Je comprend pas on étaient là tranquille avec nos pelles et pinceaux, et l'eau montait, montait! Elle montait à la vitesse d'un ragondin amateur de Carl Lewis (nous en reparlerons dans un prochain reportage!). Et là, c'était le drame, evacuation obligatoire. Ces mots ont résonné dans ma calbasse comme un hibou dans une chambre froide (idem) pendant des heures, mais c'est l'avenir de Coconut's Island qui est en jeu, le peuple Coconien compte sur nous!!"

En effet, c'est bien l'avenir de Coconut's Island qui est en jeu, gageons que cette innondation ne perdure pas dans le temps qui est incommensurable comparé à la taille de mes pieds!

Niakusikovitch pour The Coconut investigator.

Vendredi 25 mai 2007 à 12:00


La Loire, comme vous le savez peut être, prend sa source à Mont Gerbiers de Joncs. Dans son cours d'eau supérieure, elle coule sur un axe Sud-Nord entre les plateaux volcaniques du Devès. Le cours d'eau se fraie un chemin en taillant fortement les plateaux basaltiques. En moins de 40 km, la Loire dévale près de 340m de dénivelé.


"L'observation des paysages permet ainsi de constater que la structure géologique
de la Haute Vallée de la Loire s'organise en trois unités superposées:

- un socle ancien que l'on rencontre surtout dans les parties basses de la vallée
localement des dépôts sédimentaires peu épais remontant à l'ère tertiaire,
étalés sur le socle et placés en situation moyenne sur les pentes de la vallée

- un volcanisme de nature essentiellement basaltique, du début du quaternaire,
qui forme les plateaux du sommet de cette vallée ainsi que quelques coulées
plus récentes situées en position plus basse." (http://www.hautevalleedelaloire.com/valleegeneral/description/geolgeomprpho.htm)

Dans ce socle ancien, elle érode le Granite du Velay, composé de quartz, de
mica noir et de feldpath, ainsi que les dépots sédimentaires du tertaire.

"En Anjou, le sous-sol est composé principalement de schistes ardoisiers, schistes gréseux et carbonifères du Massif Armoricain ; on y trouve également des filons éruptifs de spilites, rhyolites, phtanites.

En Touraine, le sous-sol est composé de craie tuffeau du Bassin Parisien avec des sols argilo-calcaires ou d'argiles à silex ; les terrasses des bords de Loire et de Vienne sont constituées de sables et de graviers. Les bords du Cher sont quant à eux souvent constitués de sols d'argiles à silex." (http://www.vinsvaldeloire.fr/vins_vdl/terroirs.aspx?ID=0286f028-6c61-408d-9152-6a0aa4fbf2e4)

L'ensemble de ces minéraux ont subit une érosion dû à l'eau, ainsi qu'une érosion éolienne partielle pour finalement constituer ce qui est communément appelé "sable de Loire" (très prisé par les aquariophiles).

La constitution géologique du substratum de coconut's island nous fourni donc une explication quant à l'enlisement de l'individu sur le site des fouilles. Cette personne s'est enlisée car elle roulait sur un terrain constitué à plus de 90% de sable sur une profondeur de plus de 10m avec un véhicule non approprié à ce genre de tache.


Du fait qu'il avait en sa possession un détecteur de métaux, il est à peu près certain que cette homme ne venait pas chercher du sable pour son aquarium.
Du fait également de la gamme de son véhicule, il est également certain qu'il ne venait pas faire du cross dans les dunes.
Du fait, enfin, qu'il ne savait pas qu'il s'enliserait, il semble évidant que cette personne ne savait pas non plus que les plages de coconut's étaient constituées de sable.

Que peut-on en conclure?
Pas grand chose. L'enquête poursuit son cours...


Vadez pour The Coconut Investigator






Mercredi 23 mai 2007 à 11:33

Un portrait robot du conducteur fou vient de nous parvenir à l'instant (voir article: DRAME A COCONUT'S ISLAND). Toute personne ayant vu cet homme doit impérativement nous laisser un commentaire sur ce blog, que nous ferons parvenir à l' autorité compétente (qui en l'occurence ne l'est pas!).  Merci.

Nous rappelons que cet homme n'est plus armé, en effet sa voiture est en analyse dans l'atelier des EXPERT A COCONUT'S ISLAND (bientot sur vos écran!)

Niakusikovitch pour The Coconut investigator.

Mardi 15 mai 2007 à 11:15

DRAME A COCONUT'S ISLAND!

Hier aprés-midi vers 16h38, alors que nos archéologues bien-aimés continuaient leurs fouilles avec acharnement, un homme d'une quarantaine d'années équipé d'une Renault type 205, dans un élan de folie (nous espérons passagère!) décida de mettre fin aux fouilles en fonçant sur l'équipe d'archéologues. Heureusement, nos archéologues triés sur le volet, étaient tous des athlètes de haute compétition, grace à leurs réflexes ils évitèrent l'engin de mort lancé à pleine vitesse dans leur direction, dans ce que j'apellerais: "l'envol des archéol!".

Le forcené n'avait pas étudié l'aspect du sol coconien, fatale erreur, constitué de sable à  90 pourcent, cela lui évita de faire une deuxième tentative. Ensablé jusqu'aux essieux, il réussit à s'échapper miraculeusement. (voir photo ci-dessous)

Quelle étaient les motivations du "monstre"? Y aurait-il des personnes inquiètent pour leur site, avec ces fouilles? Beaucoup de questions restent en suspent, mais l'arrestation du forcené nous éclairera peut etre sur cette affaire. 

Affaire à suivre...

Niakusikovitch pour The Coconuts Investigator

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